Taquine du Rec d'Agout
Taquine
Taquine, coquine, câline,
Si tôt Pardailhan ne t’attendait.
Au soleil de ta vie juste levé,
Insupportable cette embardée.
En laissant mère et fils surveiller
Perdreaux, mordorées,
Et ce lièvre qui t’a tant inspiré.
Somail et Corbières de tes lacets
Sont imprimées.
A tire d’ailes tu t’es envolée.
Tes maîtres t’ont adorés,
Au down leurs cœurs sont restés.
Ton empreinte tu leur as laissée.
Ton souvenir reste à jamais.
Taquine, coquine, câline,
Ta descendance est assurée.
Avec Elphe, Hardy, Nés,
Du haut de vos collines
Veillez sur les petits derniers.
Babette.